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AU SUD-EST DU MIROIR | Khosro Berahmandi


Au sud-est du miroir est une sélection d’œuvres du peintre Khosro Berahmandi qui vous propose une rétrospective de son travail artistique de dernière 5 ans. Issu d’un vocabulaire « plastique » singulier et poétique, Au sud-est du miroir explore un flot d’images tirées du fantasme onirique ou la finesse et l’imagination créent la surréalité d’un rêve magnétisant.


L'exposition Au sud-est du miroir offre une technique d'exécution parfaitement maîtrisée jumelée à la précision visuelle et l'esthétique raffinée des formes et des créatures à la fois familières et étrangères, fantaisistes et lyriques. Formant des compositions émerveillées, celles-ci témoignent à leur manière du fonctionnement de "la mémoire de l'oeil" de Khosro Berahmandi, pérenissant par ricochet ses visions d'un rêve éveillé.


Au sud-est du miroir sera présentée au Bistro de la Vieille Usine de l'Anse-à-Beaufils du 16 août au 23 septembre 2023 dans le cadre du Festival Fleur de lys, Fleur de thé. Nous vous invitons aussi au vernissage de cette exposition aura lieu le dimanche 20 août à 16h.



Biographie de l'artiste

L’artiste multidisciplinaire Khosro Berahmandi, d’origine iranienne, arrive au Canada en 1983 à l’âge de 22 ans. Il vit et travaille actuellement à Tiohtia’ke – Montréal. Khosro a d’abord étudié les arts visuels à l’Université Concordia à Montréal puis à l’Universite Paris VIII. Artiste prolifique et de renom, il a réalisé plus de cinquante expositions collectives et individuelles à ce jour, dans le cadre de projets réalisés au Canada, en Europe et aux États-Unis.

L’art de Khosro Berahmandi incarne une singularité microcosmique, dérivée d’une mythologie personnelle faisant écho à l’approche picturale de l’iconographie de la peinture miniature indo-iranienne du 12e siècle au 14e siècle. Sa trajectoire créative délimite une esthétique exquise incarnée dans le labyrinthe perpétuel d’êtres agrégés et énigmatiques, un « bestiaire » semi-figuratif qui interpelle et fascine le regard des spectateurs, car les aspects esthétiques prédominants nés de l’eurocentrisme pâlissent en contraste avec ses innovations signataires dans le leitmotiv, le symbolisme poétique et robustesse de composition individuelle. Les séries successives, qu’elles soient sur bois ou sur papier, évoquent la qualité sublime d’une mythologie personnelle qui dépasse l’iconographie conventionnelle. Les œuvres ont un attrait universel dans leur ambiguïté de référence immédiate, comme si elles faisaient écho à un texte perdu une fois parlé et maintenant chuchoté

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